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e en quarante petites pages tous les méfaits de l’
instruction publique
. C’est à peine assez pour indiquer leur ordre de grandeur ; à quoi je
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quoi je me bornerai. Il a paru sur le sujet de l’
instruction publique
deux petits livres1 excellents dont je considère les thèses comme acq
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meur. Ce régime de punaises jaunâtres aboutit à l’
instruction publique
et grâce à elle prolonge abusivement sa terne existence. Je l’ai subi
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our mettre en doute l’excellence du principe de l’
instruction publique
, on crie sur tous les bancs : « Alors, vous êtes pour un retour à la
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ht, et tout bêtement, c’est le cas de le dire : l’
instruction publique
.) Résumé : 1° On a le droit d’aller contre l’époque, et on le peut ef
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oit ; et c’est pourquoi je considérerai d’abord l’
instruction publique
dans ses réalisations actuelles, puis au terme de ce recensement lame
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our quelles raisons j’ai entrepris de combattre l’
instruction publique
— on ne me contestera pas ces raisons puisqu’elles me sont absolument
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à l’examen des caractères les plus généraux de l’
instruction publique
, ceux que n’atteignent dans leur principe ni les réformes de détail n
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La préparation civique Tous les pontifes de l’
instruction publique
sont d’accord sur ce point : l’école primaire doit être une école de
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ement sont en raison inverse du nombre d’années d’
instruction publique
qu’ils ont subies. Le dilemme J’ai indiqué que les principes de
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Le dilemme J’ai indiqué que les principes de l’
instruction publique
ne coïncident qu’accidentellement avec ceux du bon sens. Je m’en tien
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s conséquences absurdes et fatales, par exemple l’
instruction publique
. Ou bien vous combattez l’instruction publique — mais vous êtes, de c
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l’instruction publique. Ou bien vous combattez l’
instruction publique
— mais vous êtes, de ce fait, contre le régime. Il y a là, dirait M.
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er l’école primaire sans toucher au principe de l’
instruction publique
. Les réformes qu’ils ont proposées jusqu’ici sont en général judicieu
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brement qu’ils trahissent le dessein profond de l’
instruction publique
, qu’ils trahissent leur mission officielle. Ils éduquent de futurs an
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s électeurs Je crois à l’absurdité de fait de l’
instruction publique
. Je crois aussi qu’on ne peut réformer l’absurde. Je demande seulemen
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erriblement simple : du droit de la Démocratie. L’
instruction publique
et la Démocratie sont sœurs siamoises. Elles sont nées en même temps.
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mple, par exemple, c’est que la Démocratie sans l’
instruction publique
est pratiquement irréalisable. Ici, je demanderai poliment au lecteur
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Certes, je ne prétends pas que les créateurs de l’
instruction publique
aient eu pleine conscience de ce qu’ils faisaient — et je les excuse
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ntable. Il est clair que si le but principal de l’
instruction publique
était d’éduquer le peuple d’une façon désintéressée, les gouvernement
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6. La trahison de l’
instruction publique
(Ici, le procureur prit un ton plus grave.) L’école s’est vendue à
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as le risque, vous préférez le sur-place. Ainsi l’
instruction publique
s’est arrêtée aux environs de 1880 et depuis lors n’a guère bougé. Le
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e trouver bien bonne celle-ci : je prétends que l’
instruction publique
est une puissance conservatrice. — Pas moins ! Elle est destinée à lé
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îtres respectés. La Démocratie, par le moyen de l’
instruction publique
, limite l’homme au citoyen. Il s’agit donc de dépasser le citoyen, de
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’esquisser ici la réponse que je lui réserve ? L’
instruction publique
est la forme la plus commune de la peste rationaliste qui sévit dans
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es : presse, ciné, faux-luxe, suffrage universel,
instruction publique
. Cela promet des grabuges inouïs. Il ne tient peut-être qu’à une fort
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ul article de fond où ne perce leur mépris pour l’
instruction publique
. Ils peuvent dire ce qu’ils veulent à propos de n’importe quoi, comme